BRETAGNE et Réflexions…

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IL N’Y A JAMAIS EU D’UNION DE LA BRETAGNE A LA FRANCE … !

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LA BRETAGNE EST SOUVERAINE EN DROIT PAR LES TRAITES SIGNES PAR LOUIS XII , ROI DE FRANCE, en Janvier 1499 (2 Lettres Traités publiées le 7 pour le mariage avec Anne de Bretagne et le 19 Janvier concernant les Généralités du retour à la souveraineté) – Traité Jamais dénoncé par nominations d’Ambassadeurs des 2 parties.

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LA BRETAGNE EST SOUVERAINE EN DROIT PAR LES TRAITES SIGNES PAR LOUIS XII , ROI DE FRANCE, en Janvier 1499 (2 Lettres Traités publiées le 7 pour le mariage avec Anne de Bretagne et le 19 Janvier concernant les Généralités du retour à la souveraineté) – Traité Jamais dénoncé par nominations d’Ambassadeurs des 2 parties.

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union de la Bretagne à la France : c’est définitivement NON !

*  2015  * vous êtes lecteurs du site, vous pouvez apporter vos commentaires sur la page ou rubrique concernée et s’ils sont pertinents ou si vous avez de nouvelles informations ou corrections à apporter ils seront insérés . merci.

POUR UNE BRETAGNE LIBEREE DE L’OCCUPANT.

*

 

17 réflexions sur “BRETAGNE et Réflexions…

  1. Je viens de découvrir votre site.
    L’inspiration en est excellente, pas seulement parce que vous faites référence à mes travaux : il est tout-a-fait VRAI que la France est en Bretagne par la violence, la concussion, l’achat des consciences, la violation constante du droit européen et international.
    Mais les fautes sont assez nombreuses.
    Je peux corriger celles qui relèvent de ma compétence, et peut être motiver d’autres auteurs incontestés,pour d’autres chapîtres. En tous cas, toutes les erreurs et inexactitudes doivent être EXPURGEES, après quoi votre site peut apporter beaucoup.

    Dr Louis MELENNEC, ce 5 mars 2015.

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  2. DE LOUIS MELENNEC, PARIS. (12 août 2016).

    Je répète ce que j’ai dit le 5 mars 2015 : aussi singulier que cela soit, JE NE CONNAIS PAS LES PERSONNES QUI ONT CREE CE SITE, et qui l’entretiennent. L’entretiennent-ils vraiment ?
    En tout cas, je me réjouis qu’il existe.
    J’interviendrai donc exclusivement par la rubrique  » Laisser un commentaire « .
    J’y ai relevé dans votre site de très excellentes chose. Mais aussi des erreurs, des approximations, des inexactitudes.
    Mon devoir est de vous les signaler. Votre droit est de les publier ou de ne pas les publier : vous êtes les maîtres chez vous.
    Vous n’êtes pas ce qu’on appelle des « élus bretons ». ni des « experts » de Wikipédia. Donc, jusqu’à plus ample informés, on peut vous gratifier d’être honnêtes.
    Vous savez que tous les merdias « subventionnés » ( = c’est-à-dire vendus et achetés), nous sont fermés.
    Nous devons donc être plus ingénieux que ces pauvres gens, qui n’ont qu’une stratégie : encaisser l’argent, et MENTIR.
    Nous ferons autrement : ne pas toucher un centime d’Euro, et ne dire que la vérité.

    CELA VOUS CONVIENT-IL ? Moi, OUI.

    LE BON DOCTEUR MELENNEC

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  3. LOUIS MELENNEC, Paris. LES BRETONS EN ONT ASSEZ DES « HYSTORYENS » IGNARES, OU QUI MENTENT VOLONTAIREMENT. Ces gens sont formés dans nos facultés, avec notre argent, pour nous tromper, et pour MENTIR, c’est à dire pour nous maintenir dans un statut d’esclaves français.

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    I – PREMIERE LETTRE OUVERTE. LA SOUVERAINETE DE LA BRETAGNE SOUS LES DUCS : trois lettres ouvertes de Louis Mélennec à M. Frédéric Morvan, agrégé-docteur en histoire.

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    « Est-il vrai que vous vous posez encore la question de savoir si la Bretagne a été indépendante sous les Ducs ? Et que vous ayez publié un article sur ce thème, en niant que la Bretagne ait été un Etat pleinement souverain avant les invasions françaises, qui ont détruit cette souveraineté ? M. Le Cuff vous a répondu avec un humour cinglant dans l’ABP. Ce qui nous a fait beaucoup rire.
    Sauf erreur de ma part, vous vous êtes dispensé de lire les articles que j’ai rédigés sur le sujet, ainsi que le livre bleu, et d’écouter ma longue conférence de Vannes, intégralement publiée par plusieurs sites sur la toile, celle-ci résumant des années de recherches fort difficiles.

    http://louis-melennec.fr/2012/07/02/la-totale-souverainete-de-la-bretagne-au-moyen-age-rappel/

    Il importe peu que vous lisiez ou non mes travaux. En cela, vous ne serez que l’élève de ce cher M. Jean Kerhervé, qui m’a écrit qu’il avait tout publié sur la matière ! Mais au cours de nos correspondances antérieures, je vous ai demandé, à deux reprises au moins, de vous reporter à l’étude magistrale de Marcel PLANIOL, notre plus grand juriste de TOUS LES TEMPS, dans son histoire de la Bretagne, tome III, pages 51 à 104. Ce texte est REMARQUABLE, truffé de références. Il est irréfutable.

    http://louis-melennec.fr/2012/07/02/la-totale-souverainete-de-la-bretagne-au-moyen-age-rappel/

     J’ai fait les mêmes recherches, mais me suis dispensé de les publier, si ce n’est d’une manière très résumée dans Le Livre Bleu de la Bretagne. Mon propre manuscrit sur ce problème comporte plusieurs dizaines de pages, d’une écriture très serrée, et est truffé de dizaines de références. Votre article n’en comporte aucune, car vous n’avez rien lu. PLANIOL  cet auteur génial, est insurpassable. Sa démonstration est DEFINITIVE, je m’incline devant son génie. Ses ouvrages de droit civil, publiés il y a un siècle, alors qu’il enseignait à Paris, sont encore réédités aujourd’hui. Sa mémoire honore notre pays, et quoique « notre » « Université » l’ignore, de nombreux lecteurs m’écrivent maintenant à son sujet.
    Un autre auteur a démonté l’affreuse mécanique de l’annexion de la Bretagne dans sa thèse : Dominique Le Page, Finances et politique en Bretagne au début des temps modernes (1491-1547). Ce texte très complet, est si épais (748 pages), que je suis probablement le seul à l’avoir lu ; il constitue un ouvrage de référence, auquel je me reporte lorsque ma mémoire risque de me trahir.
    Cette thèse est préfacée par Jean Kerhervé – qui aurait pu, lui aussi, être une référence pour les générations futures -, qui écrit, là comme ailleurs, que nos Ducs ne sont pas souverains, mais « quasi-souverains (!) », et qu’ils s’amusent – en quelque sorte -, à « une pratique indépendantiste du pouvoir dans une principauté dirigée pendant plus d’un siècle par des ducs quasi-souverains … (pour passer) à un stade d’intégration dans un ensemble politique plus vaste, le royaume de France « .
    Incroyable mais vrai ! Si l’on ne connait pas les critères de la souveraineté dans l’enseignement de l’histoire dans nos facultés bretonnes, qu’on consulte au moins les travaux des juristes et des spécialistes en sciences politiques, dont je fais partie. Après avoir digéré et assimilé ce qu’est l’indépendance d’un pays, on pourra, en connaissance de cause, se poser la question, et y répondre. PAS AVANT. Auriez vous l’impudence de disserter sur un moteur atomique, si vous n’êtes pas un ingénieur formé à cet effet ?

    Peut-on être docteur en histoire, et agrégé, et ignorer que la Bretagne a été un Etat souverain jusqu’à son annexion par la France, et qu’elle l’est encore en droit international, attendu que le chiffon de papier de 1532, présenté comme un traité jusqu’à mes travaux, est une loi française ( = un EDIT), sans aucun effet possible en Bretagne, pays souverain lorsque François Ier vint avec sa cour et ses armées imposer l’annexion ?

    OUI, ON LE PEUT, allez vous dire, on a fait beaucoup mieux : Bernard POIGNANT, ami et « conseiller » de François Hollande, agrégé en histoire, a osé écrire que l’édit de 1532, est le fait d’Anne de Bretagne. Impossible : celle-ci, férocement attachée à l’indépendance de son pays, …. était morte en janvier 1514, soit DIX-HUIT ANS AVANT L’ANNEXION, qui ne serait jamais intervenue si elle avait été encore en vie !

    A écouter, absolument :

    Pauvre Bretagne ! Kerhervé, Cornette et autres, les élèves intoxiqués dans nos facultés … sont dans cet état d’esprit : ILS NE SAVENT PAS ! Ne parlons ni de Minois ni de Croix, pour qui la Bretagne faisait partie de la France ! Incroyable, mais vrai.

    La vérité est maintenant démontrée : IMPOSSIBLE D’ Y ECHAPPER.

    VOTRE BON ET DEVOUE DOCTEUR LOUIS MELENNEC, à Paris le …

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    DEUXIEME LETTRE OUVERTE, Paris le 6 mai 2016

    CHER MONSIEUR MORVAN, AGREGE-DOCTEUR EN HISTOIRE BRETONNE,

    Je suis littéralement stupéfait que vous puissiez encore vous poser la question de savoir si la Bretagne était ou non indépendante avant les invasions françaises.
    Qu’un agrégé-docteur soit ignorant sur ce point, qui conditionne largement l’avenir de la Bretagne, me sidère.
    Il y a pire – consolez-vous : ce bon monsieur Poignant, agrégé d’histoire lui aussi, a écrit que la Bretagne a été rattachée à la France par Anne de Bretagne en 1532 ! Or, elle est décédée le 9 janvier 1514 !
    Ce bon monsieur conseille le locataire actuel de l’Elysée : voyez la catastrophe !

    Si encore nous étions les premiers à nous poser ces questions !
    Mais avant nous il y a eu Le Baud, Bouchard, d’Argentré, Lobineau, Morice, les Dominicains, La Borderie, Durtelle de Saint Sauveur, Pocquet du Haut-Jussé, Dupuy, PLANIOL, etc. Avez vous eu connaissance des travaux de ces messieurs ?
    Et récemment il y a eu un certain Mélennec, juriste jouissant d’une très belle réputation en France, qui n’écrit RIEN au hasard, sûrement pas aux dépens de sa réputation, qui en serait ruinée.
    Il y a apparence que vous n’avez lu aucun de ces auteurs.
    Entre autres travaux remarquables, il y a eu la thèse de DUPUY, éditée ensuite, que j’ai lue in extenso. Et son livre monumental sur La réunion de la Bretagne à la France.
    Lisez au moins ces trois pages de lui – qui seront publiées dans mon site séparément, et que les Bretons passionnés par leur histoire liront avec avidité -, qui résument nos recherches à tous. Tous les auteurs ci dessus – y compris moi-même – écrivent la même chose. Antoine Dupuy fut un grand monsieur. Mais il fit comme les autres, la dictature intellectuelle et le lavage des cerveaux français ne lui ayant pas permis de faire autrement.
    J’ai consacré deux pages de mon diplôme d’études approfondies ( DEA), soutenu en Sorbonne en 2001, devant les professeurs Bercé et Barbiche (voir ces noms par Google), à Antoine Dupuy, que j’admire.
    Que Kerhervé, Cornette, Croix, Minois …  ignares de ce qu’est la Souveraineté, la nation, l’indépendance, l’hommage féodal, aient écrit la dessus des conn….s passe encore. 
    Mais pas vous !

    M. Kerhervé, ex-professeur à la faculté de Brest, a eu la bonté, récemment, de m’écrire que l’un de mes articles, parvenus sur sa boite de courrier par erreur, encombrait ses mails. Me voila libre de dire ce que je pense de ses erreurs, qui sont graves, par défaut de connaissance du droit médiéval, et de l’histoire du monde. Pour autant, en aucun cas je ne dirai du mal de ce qu’il a écrit et fait de bien, en particulier sa thèse (L’Etat breton) publiée par mon éditeur de l’époque, la maison Maloine, et les actes du colloque de Brest en 1991, sur le thème : 1491 : La Bretagne, terre d’Europe, que j’ai lu en entier, la plume à la main. Je suis de ceux qui ne négligent RIEN, notamment pas les articles de ceux qui ne pensent pas comme moi. De plus, comme vous le savez, je cite ces auteurs dans les bibliographies, je me sentirai déshonoré si je ne le faisais pas : question d’honnêteté intellectuelle, tout simplement, et d’éducation. Je continuerai à les citer, largement pour me moquer d’eux, ce qu’ils méritent bien.

    La Bretagne est en voie de perdition. L’université a été détournée de sa vocation, qui est de dire la vérité.

    Note importante. Le 14 décembre 2013, le professeur Bercé, membre de l’Institut, qui siégea dans mon jury de DEA en Sorbonne en 2001, m’écrit :

    Cher Monsieur Mélennec,
    Il est, d’après ma médiocre connaissance du sujet, peu contestable que le duché de Bretagne était souverain au Moyen Age…. Certes, les circonstances historiques et les formes de la procédure  témoignaient de la situation de force du roi de France. Toutes les constructions de nations, de frontières, de patriotismes ou d’idéologies qui ont été tenues pour évidentes  et restent dans les mémoires et les idées reçues aujourd’hui résultent de conquêtes, de traités inégaux, de rapports de force, et surtout des imageries nationales qui ont été composées au XIX° siècle.

    Cordialement, Yves-Marie Bercé, Le 14 décembre 2013

    Je lui ai répondu :

    « Soyez surpris. Il existe encore, en Bretagne, des agrégés-docteurs en histoire qui n’ont pas fait leur « coming out ». Nous sommes bien, sur ce point, un pays arriéré ».

    LOUIS MELENNEC.

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    TROISIEME LETTRE PUBLIQUE ADRESSEE A M. Frédéric MORVAN, HISTORIEN, le 9 juin 2017.

    Je vous adresse trois liens : faites-en usage.
    Nous, historiens, avons un rôle capital à jouer. Nous devons être d’une honnêteté intransigeante, car notre pays est en train de se dégrader, avant de disparaître.
    Vous avez accès aux mêmes archives que moi. Elles sont claires : lisez-les, utilisez-les, respectez- les.
    Si vous n’êtes pas porté à la recherche, lisez ce que j’ai écrit, depuis plusieurs dizaines d’années.

    Pour la langue bretonne, vous avez MENTI. 

    http://blog-louis-melennec.fr/2010/03/23/les-insultes-le-denigrement-linterdit-la-mise-a-mort-de-la-langue-des-bretons-par-la-france/

    Il est vrai que nos compatriotes auraient appris eux mêmes la langue française, comme TOUS les habitants des petits pays, car ils ont besoin d’une langue efficace pour communiquer (la Grèce, la Tunisie, le Portugal …). Il n’était pas besoin, pour cela, de nous humilier, de nous frapper, de nous trainer dans la fange, ce que la France a fait de 1789 à aujourd’hui, ce que taisent les députés, les sénateurs, les maires.

     MERCI DE RECTIFIER CE QUE VOUS AVEZ ECRIT A CE SUJET. La France NE PEUT ÊTRE NI EXCUSEE, NI PARDONNEE. Vous non plus, si vous ne dites pas l’entière vérité.
    Et ne vous mettez pas à la traîne de Le Drian, dont on sait, entre autres choses, outre son triste rôle dans l’affaire de Nantes en 2014, qu’il a vendu des armes au Qatar, armes qui étaient largement destinées à être utilisées contre des chrétiens : TOUS LE SAVAIENT. C’est monstrueux.

    Il faut aussi que tous sachent ce qu’est l’Etat cloaque français :

    http://louis-melennec.fr/2013/12/09/comment-la-france-est-gouvernee-etat-voyou-ou-etat-bordel-pire-un-etat-cloaque/

    ll est grand temps – s’il est encore temps – que notre pays se reprenne en mains.

    Voici enfin un résumé de notre histoire nationale, dont je souhaite qu’il devienne l’article de référence sur la sujet : il n’est plus temps de trainer en chemin :

    http://blog-louis-melennec.fr/2017/01/11/histoire-de-la-bretagne-pour-les-nuls-et-les-collabos/

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    LOUIS MELENNEC, dit « le bon docteur ».

    Nous sommes dans une phase douloureuse. Nous devons tous agir, ENSEMBLE.

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  4. A propos des prénoms bretons interdits d’état-civil.

    Etant tout jeune (il y a fort longtemps !!!), je demandais un jour à ma mère pourquoi mon deuxième frère aîné,né en 1933 à Brest, appelé plus que couramment « Yann » voire « Yannick », portait le prénom de « Jean-Paul  » sur les documents officiels .Elle me répondit qu’à l’époque « Yann » ( « Jean ») n’étant pas autorisé à l’état-civil, le prénom « Jean -Paul  » lui avait été attribué…par défaut (« Jean » pour « Jean -Louis », prénom de notre grand-père,son parrain et « Paul » ,prénom de notre père).
    ouf ! quelle chance pour moi d’avoir été prénommé Yves ,prénom autorisé alors …

    Je me permets de vous adresser ce message même s’il n’a rien à voir avec l’essence de votre site ! simple information bretonne !!!!
    Yves LE COZ

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    • PRENOMS BRETONS.
      Merci ! Toutes les contributions sont intéressantes.
      Ecoutez l’admirable émission de Gwen le Goarnig sur les prénoms bretons, faite par « LE SAVAIS TU BRETON ? »
      C’est TERRIFIANT.
      Son père fut un patriote admirable : il a évidemment été persécuté pendant de longues années par la « démocratie » française.
      Et, bien sûr, ne fut soutenu par AUCUN BRETON !!!

      LOUIS MELENNEC

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  5. LOUIS MELENNEC.

    LA DESTRUCTION DE LA BRETAGNE PAR LA PRETENDUE « REVOLUTION FRANCAISE », UNE SUITE DE CRIMES ET D’HORREURS.

    L’OEUVRE « CIVILISATRICE » DE LA FRANCE EN BRETAGNE : 1789, LES CRIMES CONTRE L’HUMANITE, LA SOAH BRETONNE …………..

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    C’est un fait reconnu par tous les historiens : en 1789, les députés Bretons, très en avance sur leur temps, agirent avec une grande détermination pour faire tomber l’ancien régime, vermoulu, appelé à se réformer et à succomber. Les rois ne furent pas des voyous, comme on a voulu le faire croire dans les écoles de la « république », infectées par l’histoire écrite à cette fin par Ernest Lavisse. Ceux qui leur succédèrent dans nombre de pays – les Staline, Hitler, Mao Zedong, Pol Pot et autres – .. eux, furent parmi les tyrans les plus sanguinaires de l’histoire de l’humanité ; pires que Attila, disposant de moyens d’extermination beaucoup plus considérables. Dans nos civilisations occidentales et chrétiennes, on ne peut citer AUCUN exemple de cette nature parmi les rois ou les Empereurs.
    Peu de Bretons savent encore ce que fut leur pays au temps des Ducs, et comment il fut gouverné. La Bretagne ne fut certes pas un paradis terrestre, même si les chroniqueurs bretons du 15ème siècle l’affirment. Au plan des idées et des libertés politiques, l’élite bretonne des dernières années de l’ancien régime était beaucoup plus avancée que les Français. Notre Parlement de Bretagne conduisit la fronde contre l’arbitraire français, avec le concours des autres parlements du royaume de France. Ceci est un fait avéré, surabondamment prouvé.

    La France a-t-elle été reconnaissante de ce concours très actif apporté par les Bretons lors des réunions de l’Assemblée nationale  à Paris, en 1789 ? Poser la question, c’est y répondre : c’est l’inverse qui s’est produit, bien entendu ; c’est ainsi que la France a toujours agi à l’égard des Bretons. Des monstruosités furent commises à notre encontre par les dérangés mentaux de Paris. Bien loin d’apporter la Liberté à laquelle  les Bretons aspiraient, les « révolutionnaires » – parmi lesquels de véritables malades psychiatriques, relevant de la camisole de force –, après avoir injurié nos députés (Mirabeau osa les traiter de « pygmées » ….), détruisirent tous les droits ancestraux de notre pays.

    1 – Le régime d’autonomie administrative et fiscale de la Bretagne est supprimé. Le pays est découpé en « départements », administrés par des gauleiters français, sous le nom de « préfets »; la Bretagne, ce vieux pays, n’a plus le droit d’exister. C’est toujours le cas en 2018 : la Bretagne est « administrée » par des « préfets » nommés par Paris, à qui ils doivent leur carrière, et qui rendent compte à ceux qui les nomment, en aucun cas à eux qu’ils sont censés administrer. A de rarissimes exceptions près, ces fonctions sont attribuées à des Français, c’est-à-dire à des étrangers.
    2 – Les institutions antiques – les Etats et le Parlement – sont supprimées.
    Les Bretons se voient interdire de décider eux mêmes de leurs impôts, et de voter leurs lois, attributions constitutionnelles qu’ils avaient conservées sous la monarchie capétienne, en dépit de l’annexion du pays par la force, en 1532, contre la volonté unanime des bretons – à quelques traîtres près.
    3 – Massacres et persécutions. En 1793 et en 1794, les armées françaises se livrent en Bretagne et en Vendée à des massacres d’une cruauté inouïe, parmi les plus horribles de l’histoire de l’humanité, plus atroces que celles des nazis et de Daesh : 5000 personnes sont noyées dans la Loire, des centaines de femmes sont violées et éventrées, des enfants sont exécutés devant leurs parents, dans des conditions abominables … Cette période est dénommée aujourd’hui la Shoah bretonne :
    https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=Shoah+bretonne
    4 – Destruction de la langue. La langue bretonne est interdite, humiliée, insultée. On écoutera avec stupeur les émissions consacrées à ce sujet horrible :

    En 2018, la langue, qui perd plusieurs milliers de locuteurs par an, par la volonté consciente de la France de la détruire – avec la complicité de certains « élus », dont les noms sont connus et honnis en Bretagne, – est presqu’anéantie. 
    5 – L’histoire bimillénaire de la Bretagne, interdite, dénaturée, fait hallucinant, est remplacée …. par l’histoire de France, le pays tortionnaire, beaucoup plus tardivement apparu sur la scène européenne.
    En 2018, notre histoire nationale n’est toujours pas enseignée dans nos écoles, construites avec nos impôts, comme sont appointés avec notre argent les professeurs des écoles, des lycées et des facultés.
    6 – Colonisation de la Bretagne. La Bretagne est à ce point une nation étrangère à son voisin de l’Est, que l’historien et idéographe Jules Michelet, jadis considéré comme un historien français, aujourd’hui catalogué comme un romancier, largement responsable de la réécriture falsifiée de l’histoire de France, écrit, en 1831 :
     » La Bretagne est une colonie, comme l’Alsace et les Basques, plus que la Guadeloupe ».
    Cette période, inaugurée sous le règne des cinglés de 1789, instaure une colonisation impitoyable, et de décervelage terrifiant, mis en œuvre par les préfets, les instituteurs, les écoles, l’administration, entièrement sous la coupe de la France. 
    Un racisme anti-breton se développe librement en France d’une manière insupportable, dès 1789. Les injures déversées sur les Bretons jusqu’à aujourd’hui, sont ignobles.
    « Les Bretons, c’est comme les cochons », dira le « ministre » Charles Pasqua, l’homme du SAC, condamné à deux ans de prison, avec sursis, malheureusement … « Les Bretons sont les nègres de la France », lit-on dans l’Assiette au beurre en 1903 ; le chanteur Berroyer chante que les enfants promenés par les bretonnes dans leurs landaus sont des gorets. Les tribunaux français refusent de condamner ces ignominies, là où la moindre injure anti-juive ou anti-arabe est punie avec férocité. Tout citoyen du monde DOIT avoir lu les injures anti-bretonnes, telles qu’elles sont publiées dans les sites et dans les blogs – mais JAMAIS dans les merdias subventionnés, c’est-à-dire vendus et achetés.
    https://www.google.fr/search?q=injures+anti+bretonnes&safe=off&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwiOrc319v3YAhXEaVAKHRYhDUcQsAQILw&biw=

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    (SUITE). LA DESTRUCTION DE LA BRETAGNE PAR LA PRETENDUE « REVOLUTION FRANCAISE », UNE SUITE DE CRIMES ET D’HORREURS.

    7 – Acculturation de la Bretagne. Les Bretons, humiliés, acculturés, développent un sentiment très fort de dévalorisation, de honte de soi, et de culpabilité, qui a persisté bien au delà de 1950. Médecin formé à la psychiatrie et à la psychanalyse,  j’ai décrit cliniquement cet état sous le nom de « syndrome breton », que je connais parfaitement, pour l’avoir vécu moi-même, dans ma tête, du temps que j’étais jeune :
    http://www.site.louis-melennec.fr/syndrome_breton.htm
    8 – L’économie est ruinée . Du temps qu’elle était libre, sous ses Ducs souverains, la Bretagne avait été une puissance européenne importante, dynamique et prestigieuse. Ses bateaux, ses commerçants, ses diplomates étaient partout en Europe. Elle signait des accords commerciaux avec toutes les puissances européennes ; et même avec les Turcs, qui n’étaient pas ses ennemis ! Au 15ème siècle, avant son annexion sauvage par la France, elle assurait 80 pour 100 du commerce maritime des ports de la mer du Nord. C’était un pays prospère.
    Au fil des siècles, son économie dépérit sous la férule de la France, qui l’exploita comme une colonie, c’est-à-dire comme une ferme. Son économie, ses ressources humaines, exploitées drastiquement par l’Etat colonial aboutissent à une catastrophe Au 18ème siècle. La « révolution » l’ayant achevée, elle devient le « ploukistan » occidental de la France ; selon la formule d’un auteur : le trou du cul de l’Europe.
    9 – Les effroyables pertes humaines. La France a été en guerre pendant toute son histoire. La Bretagne, elle, est pacifique dès le quatorzième siècle. Mais ses troupes, une fois annexée, comme chacun le sait, sont utilisées par l’Etat colonial plus que largement. La Bretagne perd dans les guerres françaises – qui ne sont pas les siennes – plusieurs centaines de milliers de ses jeunes, sur lesquels reposait l’avenir du pays : leur courage et leur sens du devoir fait d’eux une chair à canons prioritaire, que l’on sacrifie sans aucune sorte de scrupule : ces ploucs sont placés aux premières lignes. « Ce que j’ai consommé aujourd’hui comme Bretons », dira le débilissime général français Nivelle, au cours de la guerre de 14-18. La Bretagne ne se remettra pas de ces immenses saignées humaines.
    Les marins bretons sont utilisés sur les cinq continents pour les conquêtes coloniales de la France. Si le malheur de l’annexion ne s’était pas produit en 1532, avec leur flotte impressionnante, et leur dynamisme courageux ils auraient diffusé partout dans le monde le message civilisateur breton celui du roi Arthur, de la table ronde, de Lancelot et de Mélusine. Le petit Portugal, alors plus faible que la Bretagne,répand sa culture et sa langue sur les cinq continents, avec des moyens en matériel et en hommes beaucoup plus faibles que ceux que les Bretons étaient en mesure de mobiliser. La langue bretonne serait aujourd’hui parlée dans plusieurs pays du monde, et pas seulement en Europe.
    Par la faute de la France, la Bretagne a raté sa vocation mondiale.
    10 – L’assassinat de la nation bretonne. Boursouflure inouïe, la France s’auto-proclame seule nation sur les territoires qu’elle a envahis; les Bretons, peuple identifié depuis l’antiquité par Jules César et d’autres auteurs sont interdits d’afficher sa dignité de Nation, ce que n’avaient jamais osé faire les rois capétiens.
    11 – La régression de la société bretonne. Pour ne citer que ce fait important de société, le statut de la femme régresse, au plan légal, d’une manière considérable sous l’effet des prétendus principes d’ « égalité » et de « liberté » révolutionnaires, antiféministes féroces, et surtout du code civil napoléonien.
    La femme est l’égale de l’homme dans les sociétés bretonnes dès avant Jésus-Christ.
    http://books.openedition.org/pur/21460?lang=fr

    Le code civil napoléonien, promulgué en 1802, transforme la femme mariée en une ilote, soumise à son mari, contrainte de lui obéir comme sa servante, interdite de se refuser à ce qu’on dénomme ridiculement « le devoir conjugal », qui est à la seule disposition des caprices du mari. Il n’y a pas de viol possible de la femme par le mari, puisque celui-ci est seul maître de la sexualité du couple : belle mentalité ! Le retour au Coran, en quelque sorte ! La femme bretonne exerce l’autorité effective depuis l’antiquité. La France des droits de l’homme lui accorde le droit de vote – bien après les autres pays, notamment la Turquie ! – en … 1944 ! La femme bretonne est un être humain avant Jules César : 2000 ans d’avance, sur ce point, sur la société française !

    Voila à quoi nous sommes réduits par notre voisin de l’Est, depuis la « révolution » dite « des droits de l’homme », cette révolution « qui a apporté la Liberté au monde » (sic!) : un pays qui résiste de toutes ses forces, mais qui est réduit par l’effet d’un rouleau compresseur permanent, à un pays croupion . Un « système » électoral en trompe-l’oeil , qui n’admet au parlement français que des serviteurs du système. Le pays n’a plus le droit de rien décider de ses affaires, et n’est jamais consulté sur rien, sûrement pas sur les impôts qui lui sont infligés. La France, le pays le plus mal gouverné de l’occident, a réussi l’exploit calamiteux d’être le pays le plus imposé. Ce racket fiscal est infligé aux Bretons, dont on sait qu’ils sont travailleurs, économes – davantage que les Ecossais, dit-on -, et remarquables gestionnaires, encore plus des deniers des autres que des leurs.
    Le plus triste, le plus répugnant : tous nos « députés » et nos « sénateurs » ont lu le livre bleu de la Bretagne, les écrits sur la SHOAH bretonne, et ceux qui en sont issus : ils sont donc au courant de ce qui s’est passé en Bretagne depuis 1789. A une époque ou la shoah juive donne lieu à plusieurs émissions quotidiennes dans les télévisions françaises et mondiales, pas un de ces hommes (ces hommes?) n’a ouvert la bouche.
    Tous les Français – pas seulement les Bretons – savent maintenant ce que sont ceux que l’on dénomme les « politiques ». Il n’est pas besoin d’autres commentaires.
    Qui que vous soyez, vous qui avez lu ce texte, vous avez le devoir impératif de le partout. Les complices de ce silence criminel doivent être punis.

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    EXTRAITS DE L’HISTOIRE DE LA BRETAGNE POUR LES NULS ET LES COLLABOS, par Louis MELENNEC. Lien : http://blog-louis-melennec.fr/2017/01/11/histoire-de-la-bretagne-pour-les-nuls-et-les-collabos/

    NOTA BENE. Afin que plus jamais un Français vienne nous raconter que son pays nous a apporté la « civilisation », je publie ce texte, très pensé et pourpensé sur des sites, des blogs, des médias, et sous des films Youtube, comme commentaire. Une cinquantaine de correspondants au moins le reçoivent, avec Mission de la diffuser, et non de lui faire obstacle, comme on n’a cessé de la voir depuis la belle révolution des droits de l’homme. Rien ne peut désormais arrêter la Vérité.

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  6. MESSAGE DE LOUIS MELENNEC A BRETAGNE REUNIE, le 15 mars 2018

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    Messieurs Lôquet, Choucq, Ollivier,

    Bretons et Bretonnes, BRETAGNE REUNIE VOUS PREND POUR DES …C…

    @@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@@

    Messieurs de Bretagne Réunie,

    Vous venez de porter à votre actif le maintien de la carte judiciaire de la Bretagne, de NOTRE Bretagne, telle qu’elle est définie, non par la France, mais par le droit international des peuples et des nations, en faisant croire que vous en êtes les acteurs.

    NE VOUS ATTRIBUEZ PAS CE MERITE, dont vous tentez de vous parer, comme les plumes du paon : VOUS N’Y ÊTES POUR RIEN !

    Aux yeux de la France totalitaire, non seulement vous ne faites pas le poids : VOUS N’ÊTES RIEN, RIEN, RIEN.

    Vous n’avez rien évité DU TOUT. La France a décidé en fonction de ses intérêts, en aucun cas des intérêts de la Bretagne. Surtout pas pour vous faire plaisir.

    Nous sommes plus qu’au courant de ce qui se passe à Paris, et comment s’y prennent les décisions. Vous faites mumuse, avec des gens qui se moquent ouvertement de vous, et qui rient de votre naïveté.

    Vous nous faite perdre des années précieuses. Chaque mois nous apporte de nouvelles catastrophes.

    Vous ne pouvez pas prétendre que vous n’êtes pas au courant de ce que fut notre histoire martyre, face à ce monstre d’iniquité et de violation des droits humains. Et du SEUL LANGAGE que peut comprendre un Etat totalitaire :

    1 – La dénonciation intransigeante des crimes contre l’humanité commis en Bretagne, en particulier la Shoah Bretonne de 1789 et des années qui ont suivi.

    2 – Les droits sacrés des peuples et des nations, tels qu’ils sont définis par le droit international, en aucun cas par notre voisin de l’Est.

    On vous a fourni, depuis des années, toutes les données dans ce sens. Vous vous obstinez dans des démarches fantaisistes, inefficaces, néfastes.

    Votre cécité engage votre responsabilité devant le pays, notre pays..

    Voila cinq siècles que cela dure, et des années qu’on vous le répète : vous n’obtiendrez RIEN de cet Etat totalitaire, en faisant de la lèche à madame la « députée » MACHIN, à madame la députée « CHOSE », à madame la « ministre » TRUC-MUCHE, ces pauvres filles étant strictement sans aucun pouvoir en rien, incompétentes, nommées pour celà, et pour toucher leur fin de mois. Et pire : pour avoir fait des promesses solennelles à ceux qui les ont élu(e)s, comme en 2014, pour ensuite les trahir, comme les personnes dont vous connaissez les noms.
    Ce qui est pitoyable : d’autres que vous ( = un autre que vous, si vous savez lire) a écrit tout cela, et a diffusé la vérité partout dans le monde : vous n’avez MÊME PAS A COPIER !!!!

    DR LOUIS MELENNEC

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  7. LOUIS MELENNEC. Jean-YVES LE DRIAN : UN PARCOURS VERTIGINEUX !

    Jadis, la « défense » de la Bretagne, la main sur le cœur (« La France, pays franquiste », sic!)
    le franc-maçon obéissant à ses « frères »;
    la « réunification » bafouée de la Bretagne;
    le socialiste fidèle qui, comme les rats, se sauve du navire en train de couler;
    l’ami fidélissime de François Hollande, qui le lâche au moment où il appelle au secours;
    le breton pacifiste marchand d’armes au service du 3ème pays marchand de mort du monde;
    le non cumulard qui cumulait les cumuls;
    le pauvre socialiste qui percevait 12 176 euros par mois;
    le défenseur des Bretons qui interdit le drapeau breton;
    l’homme qui détestait Macron, devenu esclave obéissant chez son Maître jadis honni …
    Le pire du pire : l’homme qui a contribué a priver la Bretagne de 33 pour 100 de son PIB, dans la lamentable affaire de Nantes, et de l’amputation de la Bretagne.
    OUF !
    @@@@@@@@@@@@@@@
    QUI L’A ELU ? Vivent les Bretons ! Ils ont vraiment le chapeau rond !
    UN MODELE POUR NOS JEUNES !

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  8. MONSIEUR LE MAIRE DE QUIMPER, LETTRE OUVERTE. L’IDENTITE BRETONNE : LA PLUS CHERE POUR LES BRETONS, CAR C’EST LA LEUR.
    ENCORE UN AUTRE PARCOURS ! ENCORE PLUS MERVEILLEUX, SI C’EST POSSIBLE !

    Ne dit -on pas : IMPOSSIBLE N’EST PAS BRETON !

    Louis Melennec

    Merci, M. le Maire, de vouloir bien transmettre à votre conseil municipal, et à tous vos administrés, le texte qui suit, lu dans FACEBOOK :

    » Peut-on, étant Breton, renier sa belle identité, et, étant « agrégé » – à ce qu’on dit – raconter de telles ÂNERIES sur notre histoire ????

    BERNARD POIGNANT : LA NEGATION DE SON IDENTITE BRETONNE : UN MAIRE DE QUIMPER PAS DU TOUT COMME LES AUTRES. EST-CE VRAIMENT VRAI ? EST-CE VRAIMENT POSSIBLE ?

    « Être Breton ? A QUOI PEUT-ON SE REFERER ? Personnellement mon texte premier dans la vie politique est la Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen. Elle a valeur universelle et non identitaire !”

    “En Bretagne je ne me sens pas l’héritier des rois Nominoë et Erispoë. Qui même les connait ? Pas plus que d’Anne de Bretagne qui a épousé deux rois de France, a donné une fille à François 1er et signé le traité d’Union en 1532. Je préfère être citoyen d’une République que sujet d’une duchesse. “ ….

    Lamentable pour un agrégé d’histoire Anne de Bretagne étant morte en 1514 et a eu deux filles avec Louis XII !

    Ce n’est pas seulement LAMENTABLE, c’est EFFARANT.

    Agrégation d’histoire ? Où, quand, comment ??? Dans une pochette surprise ?

    On se frotte les yeux. Un Breton peut-il nier son identité plus que bi-millénaire ? Notre histoire nationale prend son origine il y a deux mille ans, dans l’Ile de Bretagne, en aucun cas dans les charniers et les massacres de la prétendue révolution française, encore moins dans la version de 1917 en Russie, qui a à son passif 100 millions de victimes, ces crimes n’étant toujours pas jugés. Le peuple breton est identifié avant le Christ

    Pas identitaires, les Français ? Il ont massacré la Bretagne au cours d’une guerre abominable de 5 ans (http://melennec.info/anne-de-bretagne-et-lignoble-guerre-dinvasion-qui-a-detruit-la-bretagne-de-1487-a-1491/ ), annexé le pays en 1532 contre la volonté des Bretons, massacré des dizaines de milliers de Bretons en 1487-1491, en 1675, en 1789, en 1793-1794, assassiné la langue, la culture, anéanti nos institutions, humiliés pendant deux siècles par des injures racistes infâmes. 200 000 de nos jeunes ont été tués dans des guerres qui ne les concernaient pas/ Le pire : ils ont amputé, violant d’une manière grossière le droit international, notre territoire national de 33 pour cent de son PIB, en 1941 et en 2014. Et maintenant, ils nous imposent la fiscalité la plus lamentable du monde occidental : plus de 50 pou cent du PIB.
    Un agrégé d’histoire peut il ignorer que, quelque jour avant sa mort, Anne de Bretagne négociait encore pour que ses filles n’épousent pas des Français, qui auraient annexé immédiatement ce très vieux pays, si orgueilleux, si fier, si férocement attaché à sa Liberté ?
    Si ces citations sont inexactes, les Bretons attachés à leur pays et à leur identité demandent à Bernard Poignant de les démentir, et qu’il n’y ait faute.

    La déclaration universelle des droits de l’homme ? M. Poignant peut-il ignorer que ce texte n’a jamais été appliqué en France, que ce pays n’est pas une démocratie, qu’il est entièrement aux mains des deux ou trois clans politiques qui choisissent et qui accréditent les « candidats » dociles et obéissants à élire, en leur conférant, à eux et non aux autres,
    Si elles sont vraies, qu’on les affiche partout à Quimper, dans le Finistère, en Bretagne.

    Notre histoire nationale prend son origine il y a deux mille ans, dans l’Ile de Bretagne, en aucun cas dans les charniers et les massacres de la prétendue révolution française, encore moins dans la version de 1917 en Russie, qui a à son passif 100 millions de victimes, ces crimes n’étant toujours pas jugés.

    Est-il vrai, aussi, que M. LE DRIAN, comme on le lit partout, a interdit le drapeau breton en Bretagne ????
    On lit cette abomination sur de nombreux sites en Bretagne et ailleurs, on ne PEUT LE CROIRE ! EST-CE VRAI ?
    Et peut-on, pour d’autres, interdire le drapeau breton, dans des cérémonies au souvenir des 200 000 victimes bretonnes, dans une guerre qui n’était pas la leur ?

    https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=Le+Drian+interdit+le+drapeau+breton

    Nous ne faisons ici que poser des questions, auxquelles tous exigent réponse. Votre Conseil et vos administrés jugeront, CAR C’EST A EUX, non à nous, de juger.
    Ainsi le veut la démocratie.

    Veuillez croire, monsieur le Maire, à mes meilleurs sentiments. …

    DR MELENNEC, historien de la Bretagne.

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  9. LES BONNES PAROLES DU BON DOCTEUR MELENNEC

    LE TERRITOIRE NATIONAL BRETON EST UN, INDIVISIBLE, INTANGIBLE.
    L’INTEGRITE DU TERRITOIRE NATIONAL BRETON NE PEUT NI DE PRES, NI DE LOIN, FAIRE L’OBJET DE LA MOINDRE DISCUSSION, NEGOCIATION OU CONCESSION avec le colonisateur. Encore moins d’un référendum qui serait obligatoirement manipulé par l’Etat occupant, avec le concours des collaborateurs.

    Les Bretons sont chez eux depuis le 5ème siècle, et, à Nantes et à Rennes depuis le neuvième siècle. La nation française est très tardive. Elle n’existe en tant que telle que depuis les 12ème et 13ème siècles. La France n’est en Bretagne que par la force, l’intimidation, l’achat des consciences : elle n’a aucun droit dans notre pays, mais un seul devoir : s’en aller.

    La Nation bretonne est seule légitime chez elle, à l’exclusion de tout autre peuple.

    http://louis-melennec.fr/2012/01/31/la-colonisation-de-la-bretagne-1532-2012-bref-rappel-historique/

    https://www.google.fr/search?gs_ivs=1&q=Histoire+de+la+Bretagne+pour+les+nuls+et+les+collabos

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  10. louis mélennec
    2019/07/03 à 11:52
    LOUIS MELENNEC. A DIFFUSER PARTOUT.

    Lettre à M. de Grosvalet, ce premier juillet 2019.

    Vous voila docteur, tout autant et plus que les agrégés sortis de notre magnifique université bretonne.
    Je vous remercie de diffuser cette effroyable révélation, dans TOUTES NOS ECOLES DE NANTES et de Loire Atlantique.

    Recevez, cher monsieur, l’assurance de mes sentiments les plus mesurés.

    DR LOUIS MELENNEC.

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    1488 : LE TEXTE LE PLUS TERRIFIANT DE LA « REUNION » DE LA BRETAGNE A LA FRANCE : LE ROI CHARLES VIII ORDONNE L’INVASION DE LA BRETAGNE ET SA DESTRUCTION.

    Louis MELENNEC

    Dans mon enfance, on apprenait à l’école de la République – très sommairement d’ailleurs, car on n’osait pas entrer dans les détails – que la réunion de la Bretagne et de la France fut un mariage d’amour. Mon professeur d’histoire, lui même infecté par le mensonge, y avait cru. Je le crus aussi : j’avais quatorze ans, et j’étais innocent.
    Quelques « auteurs » diffusent encore cette stupidité. Par exemple Martin-Chauffier, dans une interview à ABP en 2008.
    Notre éminent compatriote, le grand Ernest Renan, dont les écrits sur la Nation sont connus dans le monde entier, a écrit que la recherche historique – lorsqu’elle est honnête – est de nature à bouleverser des édifices que l’on croyait indestructibles, tant ils ont été ficelés par des mensonges et des tabous abjects.

    Jeunes Bretons, qui avez été trompés par tous – y compris par vos « agrégés » et vos « docteurs » en histoire, par vos députés et par vos sénateurs -, lisez : vous allez comprendre ce que fut ce roman d’amour : un roman d’horreur.

    —————————————————————————————-

    L’acte de nomination de la Trémoille à la tête des armées françaises est le documents le plus important de cette interminable guerre d’invasion et de destruction de la Bretagne, de 1487 à 1491, et peut être de l’histoire de notre pays.
    Notre pauvre duchesse, à l’issue de cette guerre, alors âgée de quatorze ans, fut capturée comme un bovidé par un lasso, et, déjà mariée à un futur Empereur, fut violée à Langeais par un autre homme, le roi très chrétien, Charles VIII.
    Le pape Alexandre VI eut le courage, en plein consistoire, à Rome, de déclarer que ce mariage était inexistant, comme contraire aux lois canoniques, et que les enfants nés et à naître de cette union étaient des bâtards. Ce qui était la vérité.
    Même aujourd’hui, les principaux aspects de cette invasion sont inconnus pour nombre d’historiens. Certains « auteurs » en sont restés à la légende que la « réunion » de la Bretagne à la France fut …. un mariage d’amour !
    La nomination de la Trémoille à la tête des armées d’invasion, est le premier document important qui, sous la signature du roi de France et de plusieurs hauts personnages de son conseil, révèle les intentions des Français, et les moyens, contraires au droit, à la morale et aux lois divines, qui vont être mis en œuvre pour détruire la Bretagne. Cet acte officiel, destiné à rester secret, mais authentifié par les signatures qui y figurent, définit tout de ce que va être cette guerre atroce : son but réel, les moyens colossaux qui vont être mis en œuvre, la férocité avec laquelle la conquête va être conduite à son terme. Plus encore : l’hypocrisie et les mensonges qui vont servir de moyens au souverain ennemi et à sa sœur, la dame de Beaujeu, pour la conduire, en essayant de faire croire que la France se conforme au droit, et qu’elle œuvre pour rechercher la paix !

    Le 11 mars 1488, par lettres patentes, Charles VIII nomme Louis de la Trémoille lieutenant général des armées d’invasion, c’est à dire commandant en chef.

    Ce document majeur pour le rétablissement de la vérité de notre histoire, est signé par le roi, par les gens de son conseil, après délibération de celui-ci, sous le contrôle de la dame de Beaujeu ; les principaux signataires sont le sieur de Beaujeu, beau-frère de Charles VIII, l’archevêque de Bordeaux, l’amiral de Graville, ministre de la guerre, le comte d’Angoulême (le futur père de François Ier), le seigneur du Fou.

    Le poitevin Louis de la Témoille, comte de Benon, vicomte de Thouars, est un jeune seigneur réputé courageux et bon stratège, suffisamment puissant, déjà, pour que la dame de Beaujeu ait induit et accepté son mariage de sa nièce, Gabrielle de Bourbon-Montpensier, au cours de la campagne précédente. (Pélicier, page 142). Né en 1460, il n’est âgé que de 27 ans.

    L’année précédente, le commandement de l’armée française en Bretagne a été partagé entre trois personnages : La Trémoille, Saint-André, Montpensier. La Trémoille s’étant particulièrement distingué par ses capacités offensives, devient seul chef sur le terrain. Son acte de nomination énumère les raisons de son choix, qui vont se confirmer pendant toute la campagne de 1488, la plus terrible pour les Bretons, car avant que six mois soient écoulés, elle va anéantir totalement les armées bretonnes à Saint- Aubin-du-Cormier :

    » Considérant la bonne et entière confiance que nous avons dans la personne de notre cher et aimé cousin Louis, seigneur de la Trémoille, et de ses grandes noblesse, vaillance, suffisance, loyauté, commettons et ordonnons ledit Louis de la Trémoille notre lieutenant général en notre armée et marche de la Bretagne ».

    L’incroyable prétexte de l’invasion de la Bretagne est clairement exposé dans cette lettre : le duc de Bretagne François II, père de la petite princesse Anne de Bretagne, lequel, en tout, a agi en chevalier en donnant asile à quelques seigneurs français « les rebelles et désobéissants sujets du roi », fuyant la haine de la « régente » Anne de Beaujeu, est accusé de faire la guerre à la France (Page 223).
    Ces seigneurs sont au nombre de quatre : Louis d’Orléans, le prince d’Orange, les comtes de Dunois et de Comminges. Accompagnés de quelques hommes, ayant tout laissé dans le royaume de France, et privés par décision royale de tous leurs biens, ne disposent d’aucune force armée offensive.
    Au mois de mai de l’année précédente 1487, dix mille soldats français, bientôt quinze mille, ont franchi les frontières bretonnes, ont tout détruit sur leur passage, et ont osé assiéger le Duc dans Nantes, sa capitale. Les Nantais, bretons émérites, ont fait fuir les Français.

    Dès le préambule, le duc de Bretagne, qui est victime de cette invasion insensée, est accusé d’être le responsable et l’auteur de la guerre :

    « Pour résister aux entreprises que le duc de Bretagne et autres seigneurs de notre sang, nos rebelles et désobéissants sujets, qui s’efforcent de faire chaque jour de nous mener en guerre, nous avons envoyé dans les marches du duc de Bretagne, une partie de notre armée, afin d’y résister et d’y pourvoir ».

    Le roi, donc, prétendûment attaqué par la Bretagne, se croit autorisé à y déverser son armée ! On est en plein délire : d’un côté, la France, le pays le plus vaste d’Europe, qui n’est pas loin d’atteindre 400000 klm carrés, et qui possède des ressources fiscales – un budget colossal de 5 millions de livres – une armée qui atteindra 40 000 soldats en 1491. De l’autres : la petite Bretagne : 35 000 klm carrés, un budget de 500000 libres, une armée de quelques milliers d’hommes, et mal équipée : en tout, un pays au moins dix fois plus faible que le royaume de France ! Et l’on prétend, du côté de l’envahisseur, que ce petit pays pacifique a attaqué le monstre français !
    La France accuse le duc d’avoir refusé toute tentative de paix, et d’avoir refusé de renvoyer en France les seigneurs révoltés :

    « Le roi a fait sommer le Duc plusieurs fois de lui rendre tous ses sujets rebelles et désobéissants étant en sa Duché, dont il a toujours été refusant » (La Trémoille, Correspondance, page 244).

    C’est faux, ces mensonges sont particulièrement grossiers : la Bretagne a été envahie par les armées françaises au mois de mai de l’année précédente ; en accord avec les seigneurs auxquels il avait donné asile, le duc et son conseil, à la fin de l’année 1487, a donné son accord pour qu’ils puissent retourner chez eux, sous une condition : la France étant seule coupable de l’invasion, ayant violé les engagements jurés par elle, elle doit s’engager à leur permettre, une fois arrivés dans le royaume, de recouvrer leurs biens et leurs fonctions, moyennant quoi les armées françaises devront se retirer de Bretagne. La double ambassade bretonne de décembre 1487 envoyée à Pont-de-l’Arche, qui proposait aux Français cette solution, seule raisonnable, s’est faite avec l’accord du duc, de son conseil, et des seigneurs français, qui souhaitent quitter leur exil breton et rentrer chez eux. Les Français ont refusé la paix.

    Le but de la guerre est très clairement énoncé, cette fois sans aucun détour, puisqu’il s’agit d’un document secret. Il n’est plus question comme on l’a soutenu alors du côté français, depuis le début des hostilités, de s’emparer des seigneurs français qui se sont réfugiés en Bretagne, et de les extrader en France, ni de « faire une bonne paix », mais bien de faire la conquête du duché, et sa réduction. Ce mot de « réduction », très violent, va être utilisé par le pays envahisseur dans plusieurs lettres – et pas seulement l’acte de nomination de la Trémoille – est particulièrement éclairant pour l’historien.
    Ce document énumère, pour la première fois, d’une manière complète et par écrit, Les moyens à mettre en œuvre pour s’emparer de la Bretagne, la détermination féroce de la France de la mener à son terme, par tous les moyens :
    Le roi donne pleins pouvoirs et autorité à son lieutenant général :
    « pour faire marcher notre armée dans les lieux, les villes, les places, les châteaux, comme il sera nécessaire pour notre service ..
    « pour réduire et mettre en notre obéissance, par tous les moyens possibles, toutes les villes, les places, les châteaux qui nous désobéiront ;
    « pour les faire sommer de se rendre et de se mettre sous notre obéissance,
    « pour les assiéger, composer et prendre à merci ;
    « pour faire abattre et démolir les villes, les places et les châteaux qui seront nécessaires, et qui pourraient nous nuire….
    La cruauté de ce programme est quasi invraisemblable. Le droit de la guerre du temps est imprégné de principes chrétiens de justice, Mais le roi dit « très chrétien » n’en a cure, encore moins sa sœur la dame de Beaujeu. C’est de la férocité à l’état pur. Il ne s’agit en aucun cas d’une promenade militaire, ni de faire une guerre propre, mais de tout briser, de tout casser, de tout détruire en cas de résistance des Bretons.

    Cinq siècles plus tard, on suffoque d’indignation que la France – le futur pays auto-proclamé des droits de l’homme, n’ait laissé aux Bretons aucun choix : se rendre, ou mourir … Plus important encore, le texte affiche d’une manière grossière les mensonges et l’hypocrisie sur lesquels la France va s’appuyer tout au long de cette guerre pour tenter de justifier son entreprise criminelle, conduite en permanence en violation du droit international du temps, et des lois morales du règlement des conflits et des contentieux entre Etats.
    Ce document exceptionnel, – dont les Bretons du temps n’ont évidemment pas connaissance – car il est secret -, est particulièrement précieux pour l’historien. Il est un démenti formel des « dyssertations hystoryques » des quelques universitaires bretons, qui s’efforcent de trouver des justifications à cette guerre, en prétendant qu’elle est justifiée par le fait que le roi de France est chez lui en Bretagne. Il confirme, d’une manière irréfutable, que la France , de 1487 à 1491, a bien l’intention de conquérir la Bretagne, et d’y mettre les moyens, tous les moyens qu’il faudra.
    Ce texte a été publié en 1875 par un lointain descendant de Louis de la Trémoille. Personne, dans notre chère « université », ne s’en est servi. Braves Bretons !
    L’hypocrisie des Français est absolue. Ils ne vont désormais cesser de rejeter la responsabilité de la guerre sur les Bretons, qui ne cesseront, eux, de rechercher et de demander la paix jusqu’en 1491. Le programme de conquête militaire fixé par cette lettre inique sera mené à son terme. La guerre va être poursuivie dans des conditions de cruauté et d’inhumanité atroces. La Bretagne, comme nous allons le voir dans les chapitres qui suivent, va en effet être réduite à un tas de ruines et de cendres.
    Cet argumentaire pitoyable est exceptionnel : il est l’ aveu du criminel avant de commettre son crime, signé de sa main, et fondé sur des moyens qui ne sont autres que des mensonges pitoyables : des procédés exceptionnellement français, nous les subissons depuis cinq siècles.

    Cette misérable argumentation va s’enrichir, avant la fin de cette année 1488, d’un troisième « volant », littéralement stupéfiant : Charles VIII – et sa sœur encore et toujours – va prétendre avoir « des droits » sur la Principauté souveraine. Un peu plus tard, il se prétendra légitime propriétaire du duché, sa cousine Anne de Bretagne n’étant, en somme, qu’une usurpatrice, sommée par lui de ne plus porter son titre de duchesse, mais de se justifier d’occuper le trône breton ! Cette comédie va être répétée par le roi de France, transformé en voleur des Etats d’autrui, jusqu’au mariage forcé de la duchesse en décembre 1491, ce que nous allons détailler par des preuves irréfutables.
    Les termes de cette lettre sont si impératifs, si violents, si contraires au droit, que tout ce que pourront alléguer les Français, pendant les quatre années qui vont suivre, qui, jouant au chat et à la souris avec les Bretons et avec leurs alliés, vont prétendre, répétant sans cesse leurs mensonges, chaque année qui passe, qu’il ne leur est plus possible de mentir. Ce document et tout ceux qui vont suivre démasquent définitivement les Français devant l’histoire : sans aucune raison, sans aucun scrupule, alors qu’il sont des envahisseurs violents, ils vont toujours avoir l’audace de prétendre pendant plusieurs années encore, jusqu’en 1491, qu’ils recherchent la paix, et qu’ils agissent pour l’obtenir. Ce n’est pas seulement une « réduction » qu’ils vont obtenir, mais une totale destruction du pays.
    Retombée collatérale de notre texte : les hystoryens « bretons » négationnistes, ignares et menteurs, qui prétendent encore que le roi Charles VIII a simplement mené en Bretagne, une « opération de police » interne à son royaume, parce que, disent-ils, la Bretagne est « vassale » de la France, vont devoir rentrer dans leur trou, cette fois d’une manière définitive.

    Honte à ceux qui, pendant quarante ans, ont fait obstacle, de toutes les manières, y compris les injures, à mes recherches.
    Dans cette guerre d’invasion, avec ses très faibles moyens, la Bretagne a résisté plus de quatre ans.
    Aujourd’hui, nos jeunes travaillent à notre Libération : ils gagneront cette guerre de l’honnêteté contre le banditisme et le mensonge.

    LOUIS MELENNEC, docteur en droit et en médecine, historien de la Bretagne.

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  11. L’ANNEXION CRAPULEUSE DE LA BRETAGNE PAR LA FRANCE – CRAPULE

    LOUIS MELENNEC. A LIRE ABSOLUMENT : LES ANNEXIONS CRAPULEUSES PAR LE PAYS DES DOIGTS DE L’HOMME : Savoie et Nice.

    La vérité gagne sur les mensonges qu’on nous a enseignés à l’école, par un authentique lavage de cerveaux. La Savoie et NIce, comme la Bretagne, ont été annexées par des manoeuvres crapuleuses. Enfin, grâce à internet, malgré la dégoûtante lâcheté ambiante, on peut avoir accès à la vérité. Depuis moins de vingt ans seulement ! C’est dire à quel point nous avons été roulés par le système, qui fonctionne encore : voyez ce qui se passe à Nantes et en Loire Atlantique.
    ttp://www.autonomiahazi.eu/1860-annexion-de-la-savoie-et-de-nice-150-ans-dune-forfaiture/

    Magnifique, cet article sur la Savoie et sur Nice : les niçois donnent l’exemple aux bretons, et leur font honte.
    la Bretagne a été . annexée en 1532 par la France-crapule, dans des conditions qui ont pu être dissimulées par l’Etat colonial jusqu’à 2006.
    On sait aujourd’hui TOUT sur cette annexion par mes travaux;
    PERSONNE NE BOUGE, personne ne parle dans la prétendue « université bretonne », encore moins chez les « politiques », à cause qu’ils sont choisis, sélectionnés par les partis de Paris, et qu’ils sont appointés pour se taire.
    En revanche, vous trouverez en Bretagne des thèses passionnantes sur des sujets tels que ceux-ci, d’importance internationale :
    – la culture de poireaux à Quimper de 1352 à 1354.
    – les rapports entre le paysan breton et ses chevaux de trait au 19ème siècle !!!!!!

    La recherche historique en Bretagne a été étouffée par les successeurs de Staline, de Mao, de Pol Pot et . autres rebus de l’humanité. Il se trouve encore des « présidents » de thèse qui affirment que la Bretagne n’a jamais été indépendante, et qu’elle a demandé son intégration dans la FRANCE ennemie ! Et l’on a encore entendu cette sottise dans la bouche d’un agrégé-docteur il y a quelques mois à peine.

    J’adresse votre remarquable article sur la Savoie aux trente agrégés et docteurs que je connais . J’ai moi-même écrit sur la Savoie, Nice, et l’Alsace martyre; un alsacien m’a dit : « quel dommage, docteur, qu’il y ait la France entre nous !  » Les Alsaciens, eux aussi, savent maintenant dans quelles conditions ils ont été envahis, humiliés, battus. Les Alsaciens ont été le Ploukistan oriental de la France : quelle sinistre aventure. Nous, Bretons sommes toujours son Ploukistan occidental. La pathologie des peuples acculturés est maintenant bien connue. Il y a une trentaine d’années, le président d’une importante juridiction alsacienne m’a dit : nous avons tellement souffert, que la moitié de mes compatriotes devraient se trouver sur le divan du psychanalyse pour retrouver leur équilibre.

    http://blog-louis-melennec.fr/2013/08/28/la-savoie-et-nice-affirment-la-nullite-juridique-de-leur-annexion-par-le-pays-des-non-droits-de-lhomme/

    Va-t-il se trouver parmi eux UN SEUL être humain qui va dire : assez de mensonges, et d’hypocrisie : LA FRANCE EST UN PAYS ETRANGER EN BRETAGNE : la porte de sortie, c’est par là !

    NON : ils rampent sur le sol, ce sont des couleuvres, des lâches, DES COLLABOS;

    vivent les Bretons, n’ont-ils pas le chapeau rond ?

    LIRE IMPERATIVEMENT : LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE : 400 000 TELECHARGEMENTS DANS LE MONDE. Plusieurs millions de résultats par Google.

    https://www.google.fr/search?sxsrf=ACYBGNQNYxOWI13TLE_kQsY7HJQNbtw9QA%3A1567894514435&ei=8it0XaSXGsKYlwSMi6yYCA&q=livre+bleu+de+la+Bretagne&oq=mélenn

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  12. LES ECRIVAINS BRETONS QUI ONT ECRIT EN FRANCAIS;

    Les poètes bretons modernes qui ont écrit leur œuvre en langue française, dépassent largement en qualité, au moins dans certaines pièces, les poètes français. La sécheresse affective des œuvres poétiques françaises, et leur caractère conventionnel, surprennent toujours les Bretons, infiniment plus sensibles, et capables d’exprimer beaucoup de choses avec beaucoup plus de sensibilité, de nuances et de romantisme. Ce qu’affirmait Marie de France, au 12ème siècle reste vrai : « Bretagne est poésie ». Ce qu’on disait de la littérature française au douzième siècle, comparativement à la littérature bretonne, vue à travers la matière de Bretagne , copiée partout en Europe, – particulièrement le cycle du roi Arthur et de la table ronde, avec ses héros : Lancelot, Merlin, Mélusine – reste d’actualité. Je n’irai pas jusqu’à répéter ce que disait Saint-Pol Roux, français converti à notre littérature : « Bretagne est univers » ; je ne le pense pas. Mais, à quelques exceptions près, c’est la même platitude qui continue à s’épanouir chez les Français : l’esprit et le génie n’y souffle qu’avec parcimonie. Georges Sand a parlé des diamants que l’on trouve dans le Barzaz Breiz, comparant ce chef d’oeuvre breton à l’Iliade et à l’Odyssée, ce qui n’est pas un petit compliment ! Cette oeuvre a été traduite en plusieurs langues par de grands écrivains anglais et américains, tandis que notre poétesse populaire Anjela Duval a été publiée aux Etats Unis par Lenora Timm, de l’université de Californie, la comparant aux plus grands « green poets », à côté de Robinson Jeffers, Mary Oliver, Wendell Berry, ou même à la poétesse allemande Sarah Kirscch ! Là, on ne peut que donner raison au linguiste Goulven Pennoad, qui a écrit cette phrase immortelle, dans l’une de ses correspondances à moi destinée: « La langue française est l’un des idiomes les plus minables d’Europe » . De ce point de vue, si l’on souhaite une comparaison, qu’on déclame à haute voix certaines pages de Chateaubriand et de Victor Hugo, deux génies, et qu’on les compare à deux écrivains hexagonaux. Les Français ont voulu faire de ces deux auteurs leurs plus grands écrivains : ils se sont trompés, car ces deux génies ne sont pas français, mais bretons ! A ceux qui ont écrit que la langue bretonne ne possède ni vocabulaire, ni grammaire, ni poésie, ni théâtre, ni aucune œuvre digne d’être citée, je rappelle cette phrase de Clémenceau, qui s’y connaissait : « Qu’on me donne quarante trous de cul, j’en ferai immédiatement une académie française ».

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  13. LA HUNE ET HINDIVISIBLE, par le bon docteur Mélennec. UNE AIMABLE PLAISANTERIE ??? NATIONS BRETONNE, ALSACIENNE, SAVOISIENNE ……
    Alexis Arette, Béarnais de souche, sur les massacres linguistiques opérés par les « révolutionnaires » français : « Si la culture celtique n’avait pas existé, le « Français » Chrétien de Troyes aurait été à court d’inspiration : la langue dominante a puisé ailleurs ce qu’elle n’avait pas ….. A partir de la renaissance, négligeant le fabuleux trésor des peuples de l’ « hexagone », l’érudition académique n’a eu de cesse de copier les auteurs païens, et de mettre en scène des héros étrangers. Ni Lancelot de Bretagne, ni Huon de Bordeaux ne disaient plus rien à personne. Mais les pleurnicheries de Bérénice et de Chimène faisaient pâmer le beau linge de Paris. »Qu’est-ce qu’une nation ? Faut-il encore poser la question ? Est-elle encore d’actualité ? Elle l’est plus que jamais : des fous ont entrepris de détruire les nations. Dans le monde entier ! Pour la France, le processus est très avancé. L’idée de nation renvoie au fait de la naissance des hommes et des femmes dans un lieu déterminé : « nascere « signifie « naître ». Dans une première acception, le mot réunit les individus qui, nés dans un même lieu, ou sur un même territoire, parlent la même langue, pratiquent la même religion, ont vécu ensemble pendant des siècles, partagé les mêmes valeurs, et sont censés descendre – croit-on -, des mêmes ancêtres. C’est en 1872 que le breton Ernest Renan y ajoute un « critère » nouveau, le sentiment national, aujourd’hui dénommé « sentiment d’appartenance », qui traduit l’adhésion intime des personnes concernées à la même collectivité humaine.Le concept de nation française dite « une et indivisible » date de 1789. (Selon Goulven Pennoad : la « Hune et Hindivisible »). Il n’a jamais répondu à rien de concret, ni avant, ni pendant, ni après la révolution française, encore moins en 2020. C’est par une affirmation gratuite des députés de l’assemblée constituante, réunis en 1789 à Versailles, puis à Paris, incluse dans l’article premier de la constitution de 1791, qu’ils ont cru, en utilisant cette formule inappropriée et non conforme aux droits immémoriaux de la nation bretonne – reprise depuis lors par plusieurs constitutions, dont celle de 1958 -, avoir substitué ce qu’ils nomment désormais « LA » nation française, aux vieilles nations incluses dans le territoire soumis à l’autorité des rois de France, et avoir rayé de la carte les autres peuples de l’hexagone, bien plus anciens qu’elle.L’article premier de ladite constitution de 1791 est ainsi libellé : Le Royaume est un et indivisible : son territoire est distribué en quatre-vingt-trois départements, chaque département en districts, chaque district en cantons.Cette absurdité est suivie d’une autre : Article 2 : Sont citoyens français, ceux qui sont nés en France d’un père français.Ces dispositions sont absurdes, voire ridicules : L’Armorique porte le nom de Bretagne depuis le sixième siècle ; les enfants qui naissent dans ce pays sont de nationalité bretonne, non de nationalité française. Une nation ne se décrète ni par une loi, ni par aucun texte, de quelque nature qu’il soit. Surtout s’il a été inclus par la force dans la constitution d’un pays étranger, parce que celui-ci tient la plume pour la rédiger, sans solliciter l’avis des principaux intéressés, qui ont seuls qualité pour décider de quel peuple ils font partie. De même, une nation ne peut être supprimée et disparaître parce que des malades mentaux ont inclus une sottise – une énormité, en réalité -, dans un texte rédigé par eux, sans l’accord de personne, et intitulé par eux « Constitution de la France ».Outre les provinces centrales, qui forment un ensemble à part, comme étant soumises au roi de France depuis plusieurs siècles, et qu’elles l’ont reconnu comme souverain, il existe dans les limites de ce qu’on dénomme en 1789 le royaume de France, au moins cinq nations périphériques : la Bretagne, le Pays basque, le Béarn (annexé au royaume en 1620), la Corse, l’Alsace. Les régions centrales, intégrées dans le royaume depuis plusieurs siècles, font partie de la nation française, et ne revendiquent aucune autre identité nationale que celle-là. Là s’arrêtent les limites de cette nation.La doctrine de la nation française prétendûment « une et indivisible », est enseignée dans les écoles jusqu’à aujourd’hui. Les élèves l’apprennent par cœur, il ne leur est pas permis d’admettre d’autre vérité que celle-là. Le Conseil d’Etat use de cette formule absurde chaque fois qu’il en a besoin, toute honte bue, sachant qu’il se sert d’un sophisme – dont les juristes se gaussent. Il l’a fait pendant longtemps, pour interdire aux peuples plus anciens que le sien de parler et d’enseigner leur langue nationale. En Grande Bretagne, les Anglais, qui détenaient la force, n’ont évidemment pas osé extirper par le fer et par le feu les identités écossaise et galloise, les Ecossais et les Gallois conservant avec fierté leur appartenance à leurs nations respectives.Il est nécessaire de rappeler ici ce qu’est une nation. Les exposés théoriques de tous les auteurs confondus sont désespérants de confusion.Dans une conférence faite à Paris en 2002, mes auditeurs ayant quelque difficulté à comprendre ce qu’est une nation, j’ai résumé ma démonstration, à leur intention, de la manière qui suit :« Lorsque vous jetez de l’eau dans une casserole, puis des poireaux, puis des pommes de terre ou d’autres légumes, et que vous mettez le tout sur le feu, qu’arrive-t-il ? Tout simplement, au bout d’un temps, une soupe de légumes.La nation, c’est cela : un groupe humain vivant ensemble, sur le même territoire, partageant les mêmes valeurs , les mêmes joies, les mêmes épreuves, parlant ou non la même langue, sous un gouvernement commun. Au bout d’un temps, ces hommes et ces femmes se lient ensemble, par ce que nous appelons un sentiment d’identité commune – ou sentiment national -, distinct de celui des peuples voisins, qui ont subi la même évolution, et qui sont vécus comme des étrangers. Point n’est besoin de connaître à fond l’histoire des sociétés anciennes ni modernes pour comprendre ce phénomène : il est lié consubstantiellement à l’espèce humaine : les peuples – ou nations – ont existé de tous temps, de même que le droit international, au moins sous une forme rudimentaire.C’est donc une absurdité de dire qu’il n’y a dans l’espace hexagonal dénommé « La France » qu’une seule nation. La nation française existe, il est vrai ; elle est au centre de ce qu’on dénomme « l’hexagone ». Mais à la périphérie, il y a d’autres nations : les Basques, les Bretons, les Corses, les Flamands, les Alsaciens, les Savoyards et les Niçois …. La liste n’est probablement pas close. Les Bretons et les Basques sont identifiés avant les Francs et avant les Français, leur histoire est beaucoup plus ancienne, leur langue aussi. Les Corses, pas davantage que les Bretons, les Savoisiens ne sont pas ce qu’on a appelé absurdement des « composantes du peuple français » : ce sont des Nations à part entière, au même titre que les Ecossais, les Gallois, les Catalans ….La négation des nations périphériques dans l’espace hexagonal est l’effet d’une imposture et d’une manipulation mentale grossières, nées en 1789, de la volonté du pouvoir de Paris d’annexer par la force, sans consulter les citoyens concernés, au pays dénommé « la France », des nations qui n’en font pas partie, et d’enseigner comme un catéchisme une religion fausse, faite à son profit d’inexactitudes et d’approximations.La vérité est enfin connue aujourd’hui. Notamment par nos travaux, qui s’ajoutent à bien d’autres. Ceci détruit d’une manière définitive l’idée absurde selon laquelle, dans l’espace hexagonal, en détruisant l’identité des autres, par des textes dont elle est la seule rédactrice, la France peut revendiquer la qualité de nation. La nation bretonne est plus que jamais debout. La nation française, par les effets conjugués d’une classe politique archi-nulle, en grande partie corrompue, est déliquescente, et en voie de destruction. Il n’en reste que des charpies : tant pis pour elle. Requiescat in pace !Les Bretons ont qualité de professeurs, en matière de Nation : ils existent plus de mille ans avant les Français. Profitez-en, donc.
    louis MELENNEC, docteur en droit, historien

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  14. L’HEROISME A LA MODE DE BRETAGNE !

    DES HEROS BRETONS :
    Le Gonidec, La Villemarqué, Roparz Hémon, Youen Drézen, Malmanche : ils ont sauvé ce qui reste de la langue, et en ont fait une très belle langue littéraire.
    Leur salaire : on les a traités de nazis, et on les a condamnés; on a débaptisés les rues et les rares collèges qui portaient leurs noms.

    D’AUTRES HEROS, D’un autre type :
    Le Drian : il a interdit le drapeau breton.
    Le Fur et Molac : ils ont prononcé DEUX PHRASES en mauvais breton à l’assemblée nationale.
    Résultats en matière de langue : ZERO.
    Mais ils sont ministres et députés ! Et ils touchent.
    On leur a demandé, DIX FOIS AU MOINS, de s’exprimer en HOMMES, publiquement.
    Résultat : ZERO !

    BRETONS : ce sont eux les coupables ? OU VOUS ????????????????????????????????,

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  15. AUX BRETONS QUI COLLABORENT ENCORE AVEC CEUX QUI NOUS ONT HUMILIES. LES COLLABOS ACTUELS EN BRETAGNE.
    En Bretagne, le mot “collabo” a radicalement changé de signification. J’ai contribué, avec d’autres, à rétablir la vérité historique.
    Ce pays a été domestiqué de 1789 à nos jours : les Bretons ont été humiliés, dégradés, insultés, acculturés.
    Ils ont été manipulés, y compris dans ce qu’ils ont de plus cher : LEUR IDENTITE.
    A partir de 1789, les Bretons ont été privés de leurs institutions millénaires, interdits de parler leur langue, trainés dans la fange, interdits d’avoir accès à leur histoire nationale. A partir de la deuxième moitié du 19ème siècle, particulièrement après Jules Ferry, l’histoire de la Bretagne a été remplacée par l’histoire de France. Ce fut un véritable lavage de cerveaux. L’école a été transformée en un immense camp de concentration, dans lequel on apprenait – sous peine de sanctions – aux petits Bretons de devenir ce qu’ils ne sont pas : des Français. Et de se sacrifier pour ce qu’on leur apprenait à considérer comme leur patrie : la France. Nous avons perdu, ainsi, 150 000 de nos jeunes dans la première guerre mondiale, dans un conflit franco-allemand qui ne nous concernait ni de près ni de loin ; cette guerre était celle de la France, en aucun cas celle de la Bretagne. Il vous est impossible de protester : mes grands parents, mes parents, moi-même, avons vécu cette expérience monstrueuse et terrifiante. (Je suis né en 1941).
    Il m’a fallu quarante années pour réécrire notre histoire nationale, à partir des archives – les vraies. Le roman national français est désormais en charpie. Ce ne sont pas les Français qui l’ont écrit, mais les débiles mentaux qui les ont gouvernés, et qu’ils s’obstinent à élire et à réélire.
    Le mouvement que vous décrivez comme un nationalisme coupable, qui s’est épanoui à partir du 19ème siècle – avec les remarquables Le Gonidec, Brizeux , et surtout Hersart de la Villemarqué, auteur du célèbre Barzaz Breiz – qui n’est pas un livre d’histoire, mais un recueil de poésies, d’ailleurs améliorées par l’auteur par rapport à leurs versions populaires -, n’est rien d’autre qu’une protestation véhémente contre les manipulations, les mensonges, les persécutions de la France pour décerveler les Bretons.
    De même, si des Bretons se sont tournés vers les Allemands de 1940 à 1945, c’est parce qu’ils en attendaient de l’aide pour rétablir leur langue, leur culture, leur véritable identité. Ce phénomène est l’effet de la nature; il s’observe chez des dizaines de peuples colonisés, comme l’ont été les Bretons. Les Kabyles, en ce moment, subissent les mêmes monstruosités que les nôtres, à cette époque : nous sommes en parfaite symbiose avec ce peuple digne, et combien humain, et COMBIEN APPRECIE DANS LE MONDE.
    Les collabos – qualifiés tels par les colonisés bretons – étaient des patriotes qui se sont tournés vers l’Allemagne en 1940, non pas par affinité avec le nazisme, ce dont on les a accusés -, mais pour reprendre possession de leurs droits sacrés, nationaux et internationaux. Les Bretons sont pacifistes, légalistes, en aucun cas conformes au portrait qu’en a fait l’homme qui porte le nom de MELENCHON. Lisez avec attention les auteurs bretons de ce temps : vous y verrez surtout une immense souffrance, chez des êtres qui ont une sensibilité à fleur de peau, d’être traités comme des animaux.
    Avoir eu honte d’être Breton ? Croyez-vous qu’à mon âge que je ne sais pas ce que cela signifie ?
    Madame Morvan a été décervelée à l’école par la pesanteur ambiante, et par le discours destructeur qui l’a conduit à renier la nation dans laquelle elle est née. C’est une victime, mais qui a fait du mal en succombant, et en écrivant contre son pays, par l’effet d’une erreur d’analyse dramatique.
    Et M. MARKOWICZ, pourtant lucide, a été colonisé par Françoise Morvan.
    Il leur reste, à tous deux, de se décoloniser. Il n’y a aucune honte à avouer qu’on a été trompé.
    Le sujet vous intéresse ? Alors lisez ceci, et diffusez : notre combat n’est pas seulement celui de la dignité des Bretons, mais celui de l’espèce humaine : TOUS SONT CONCERNES :

    LE LIVRE BLEU DE LA BRETAGNE (par Google).(Téléchargement gratuit; 300 000 personnes l’ont lu).

    L’EXCELLENT SITE “BRETAIGNE BRETAGNE”. (par Google).

    LES INJURES ET LES INSULTES ANTI-BRETONNES (un racisme anti-breton authentique) : lorsque vous aurez lu cela, vous comprendrez à quelles bassesses sont tombés nos détracteurs.

    La vérité historique n’est ni de droite ni de gauche. La dire publiquement relève de l’honneur.
    SOYEZ HONNÊTES DANS VOS LECTURES !
    Les collabos visés ici se reconnaissent : C’EST VOULU, ils l’ont cherché. Ceux qui ont vendu Nantes, nous empêchant de réapparaitre sur la scène internationale, sont en première ligne.

    LOUIS MELENNEC, historien de la Bretagne. (24 août 2021).

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  16. Qui a dit, en pleine Assemblée nationale, et à qui ?

    « Vous avez trahi la Bretagne »
    « Cette région, vous l’avez trahie. Au moment des redécoupages, le 6 mai 2009, vous étiez, selon vos dires, un acharné de la réunification; le 18 janvier 2014, vous vous prononciez même pour la dissolution des Pays-de-la-Loire. Chacun sait que, en vérité, vous avez milité pour le statu quo. Cela revenait à tirer une balle dans le pied d’une région déjà affaiblie par les crises à répétition. Pourquoi, comme ministre breton, n’avez-vous pas défendu l’intérêt supérieur des Bretons ? »

    C’est la députée Isabelle Le Calennec. Il est vrai que ce n’est pas un produit pur beurre breton. Parmi ses ancêtres : des Basques, des Béarnais. Ces gens là savent parler ! Les « nôtres » rampent sur le sol. A quelques uns près, ils nous couvrent de HONTE.

    Trahir son pays est la pire infamie qui soit. De tes propos retentissent dans les tombes jusqu’à la fin des temps.

    Zone contenant les pièces jointes

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